Message posté par : Adonis H. Knox
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Adonis H. Knox
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Déteste : Qu'on lui vende des trucs, la nourriture salée, les trains, les piscines
Talent : Ralentir le temps et s'humilier en public (Surtout le deuxième)
Ennemi Naturel : L'Ennui et les traversins.
Couleur préférée : L'Orange clair
Expérience : 600
Secret Garden
Rang: Count/Eldest
Niveau:
(9/30)
Couronne(s): 40 ¤
Sam 11 Nov - 15:15
Le matin, les tâches de café sur le fut. L'air perdu, la fatigue respiré, respirante. Adonis vivait, flottait, battait sans jamais ouvrir un peu son regard. Sur ce monde qui défile sans jamais l'harponner, l'attirer. C'était un chien qui avait perdu son os, un chien qui aimerai bien participer à ces explosions oranges et noires. Mais un homme, qui veut honorer encore une fois ceux qui lui donnent une chance en échange d'un peu de sa vie. Traqueurs, Knox, un peu tout ça en Adonis. Sans que rien n'accroche à cette étrange mélancolie dans ses traits.
Il était partout dans le monde, Adonis combattait la monotonie par l'ennui du monde. Japon, il a surveillé un fiché pendant deux jours. Rien n'est parvenu d'étrange, fausse alerte. Le fiché était simple, travailleur et calme. Rien à dire, rien à redire. C'était decevant pour quelqu'un qui voulait du sang et des larmes, mais paisible pour un sans prétention comme Adonis. Alors il était là à hanter les couloirs à la recherche de cette personne qui avait particulièrement désiré avoir le rapport sur ce fiché au Japon. Les couloirs étaient étrangèment décorés, parfois animés par des petites magies sans prétention. Et Adonis se perdait un peu en contemplation, le regard brillant comme un petit enfant. Il avait beau être un traqueur, il n'en restait pas étrangèrement sensible à cette joie enfantine.
Et d'un coup, des caquettements. Par centaines, partout. On parlait d'une fête, d'un festival. D'une traque de bonbons dans le bâtiment. Adonis comprendait pas réellement, il ne pouvait pas se laisser emporter passivement. Il a tenté de résister bien sûr. Mais, il faut croire qu'une armée de mages étudiants et déterminés aient une influence définitivement sur un traqueur un peu blasé.
Et c'est ainsi qu'Adonis s'est retrouvé affublé d'un costume de zombie absolument pas à son goût, peut-être même un peu trop petit pour lui et ses deux mètres au garrot. Tirant sur ses manches las, il ne put que soupirer. Cloitré dans une petite pièce, il attendait que ces Baccanalles daignent de lui donner son partenaire pour que tout ça soit le plus vite fini possible. En attendant, ses pensées s'égaraient sur ce lieu. Il se demandait si Lise était bien ici. Il n'avait pas un souvenir extraordinaire de ses années dans ce lieu. Il eut un lèger sourire quand même, bien malgré lui amusé par la situation.
La porte s'ouvrit sur une silhouette fluette dirigée par une fille affublée d'une déguisement affreusement banal de vampire. On lui présenta cette personne comme son partenaire, d'un coup d'oeil lascif, Adonis ne put rien deviner d'autre que son sexe. Probablement féminin vu sa frêle corpulence derrière cet espéce de longue robe noire. Son visage était dissimulé par une citrouille énorme, agrementé d'un nœud. Le costume était plus mignon qu'effrayant à son goût, elle avait bien de la chance cette inconnue. Alors, qu'il allait ouvrir la bouche, une voix trop connue s'émit :
-Trick or Treat Adonis ?
La voix semblait surprise. Plus surprise que lui ? Non. Il y a eu un moment de vide avant qu'il ait un grand sourire. Même masquée, c'était bien la voix de Lise. Il pourrait la reconnaître en mille, voire dix mille.
-Lise ! C'est drôle de t'avoir comme partenaire ! J'aurai preferé un partenaire plus effrayante mais soit. Es-tu devenu plus petite depuis la dernière fois ?
C'était pas professionnel. Mais bordel, que ça faisait du bien. De recommencer un peu comme avant.
Il était partout dans le monde, Adonis combattait la monotonie par l'ennui du monde. Japon, il a surveillé un fiché pendant deux jours. Rien n'est parvenu d'étrange, fausse alerte. Le fiché était simple, travailleur et calme. Rien à dire, rien à redire. C'était decevant pour quelqu'un qui voulait du sang et des larmes, mais paisible pour un sans prétention comme Adonis. Alors il était là à hanter les couloirs à la recherche de cette personne qui avait particulièrement désiré avoir le rapport sur ce fiché au Japon. Les couloirs étaient étrangèment décorés, parfois animés par des petites magies sans prétention. Et Adonis se perdait un peu en contemplation, le regard brillant comme un petit enfant. Il avait beau être un traqueur, il n'en restait pas étrangèrement sensible à cette joie enfantine.
Et d'un coup, des caquettements. Par centaines, partout. On parlait d'une fête, d'un festival. D'une traque de bonbons dans le bâtiment. Adonis comprendait pas réellement, il ne pouvait pas se laisser emporter passivement. Il a tenté de résister bien sûr. Mais, il faut croire qu'une armée de mages étudiants et déterminés aient une influence définitivement sur un traqueur un peu blasé.
Et c'est ainsi qu'Adonis s'est retrouvé affublé d'un costume de zombie absolument pas à son goût, peut-être même un peu trop petit pour lui et ses deux mètres au garrot. Tirant sur ses manches las, il ne put que soupirer. Cloitré dans une petite pièce, il attendait que ces Baccanalles daignent de lui donner son partenaire pour que tout ça soit le plus vite fini possible. En attendant, ses pensées s'égaraient sur ce lieu. Il se demandait si Lise était bien ici. Il n'avait pas un souvenir extraordinaire de ses années dans ce lieu. Il eut un lèger sourire quand même, bien malgré lui amusé par la situation.
La porte s'ouvrit sur une silhouette fluette dirigée par une fille affublée d'une déguisement affreusement banal de vampire. On lui présenta cette personne comme son partenaire, d'un coup d'oeil lascif, Adonis ne put rien deviner d'autre que son sexe. Probablement féminin vu sa frêle corpulence derrière cet espéce de longue robe noire. Son visage était dissimulé par une citrouille énorme, agrementé d'un nœud. Le costume était plus mignon qu'effrayant à son goût, elle avait bien de la chance cette inconnue. Alors, qu'il allait ouvrir la bouche, une voix trop connue s'émit :
-Trick or Treat Adonis ?
La voix semblait surprise. Plus surprise que lui ? Non. Il y a eu un moment de vide avant qu'il ait un grand sourire. Même masquée, c'était bien la voix de Lise. Il pourrait la reconnaître en mille, voire dix mille.
-Lise ! C'est drôle de t'avoir comme partenaire ! J'aurai preferé un partenaire plus effrayante mais soit. Es-tu devenu plus petite depuis la dernière fois ?
C'était pas professionnel. Mais bordel, que ça faisait du bien. De recommencer un peu comme avant.